Historique 2
Étudier de manière approfondie les ancêtres du « Presa Canario » reste encore un sujet de débat passionné, même en considérant l'opinion de façon prolongée, qu'ils sont les descendants de base des bouledogues, mastiff, bullmastiff, bullterrier, staffordshire bull terrier, matin et presa espagnol qui ont été transporté sur leurs navires au-delà du XVIII siècle et qui a obtenu, avec le chien indigène appelé majorero canario (bardino), la race « presa canario ».
Les personnes qui vivaient alors dans l'île des Canaries, disposant d'une connaissance très récente des méthodes agricoles et d'élevage importés par la mer, ont découvert les immenses qualités de cette nouvelle race dans la gestion de l'élevage, dans la garde et la tutelle des biens, la création d’une nouvelle race de chiens qui a été choisi par les agriculteurs pour ses caractéristiques.
Être faite pour survivre dans un environnement aussi hostile, dont l'existence a été très dur, cette nouvelle race de chiens a subi une sélection rigoureuse, venant a laisser la nature sélectionner les meilleurs spécimens. Sont nés certains animaux enflammés et vigoureux à partir de cette sélection naturelle des chiens de prise, très utile pour le dur travail pour lequel ils étaient destinés et très appréciée par les gens pour sa légèreté de mouvement, pour son apparence musculaire et son tempérament.
Basé sur la stabilisation des routes maritimes qui traversait l'île canari dans la XVIII et XIX, et une intervention anglaise moins importante, cette race commence à recevoir l'influence génétique des chiens anglais gladiateurs, qui déterminent positivement son chien de prise.
Le résultat est un animal fidèle, équilibré et disposant d'un fort caractère que les insulaires appellent comme «verdino chien», «tierra del perro», l'acquisition d'un vrai « canario » dans l'île pour ses qualités de gardien.
Mais une fois de plus, le peuple anglais est celui qui définit les lignes directrices de cet animal, faisant d'elle un combattant infatigable en raison de l'enthousiasme excessif des Britanniques pour les combats de chien. Peu à peu, ils ont transmis aux insulaires principalement de l'île de « Gran Canaria », cet amour pour les coutumes rurales de ces animaux pour la seule fonction de chien de prise. Est né certainement le « presa canario ».
Ils ont commencé à organiser des combats de chiens à travers les villages, étant régulièrement organisés pendant les festivités, certains événements de combats de chiens, par exemple, le visage du chien du maire contre le chien du boucher ou tout autre chien de la région.
Les combats ne sont pas aussi ceux de nos jours, à cette époque, lors du combat, quand il y avait un chien qui avait l’air le plus fort face a son adversaire, celui-ci était le gagnant: d'où le peu dommage subi par les chiens dans ces combats.
Les compétitions dans lesquelles ont lieu les paris à ce moment-là, des événements dans lesquels les amateurs anglais ont participé, car cela fait partie de la culture anglo-saxonne, les paris avaient une très faible absorption dans l'environnement rural des villages des îles.
Le résultat de l'évolution progressive de ce chien est un animal léger, solide de tête massive, museau jamais court et le manteau noir de préférence, tigré et blanc, à la suite de diverses combinaisons génétiques.
Le « presa canario » prend alors le rôle principal dans les îles comme un chien parfait pour la lutte, ce combat de devenir une tradition dans tous les coins dans les îles Canaries, principalement dans l’ile de « Gran Canaria » mais dans les années 40, une loi nationale, interdit expressément ce genre de pratiques sanglantes de toute l'Espagne, tombant alors peu a peu cette race dans l'oubli, provoquant une perte significative de lignées génétiques de la race de chiens gladiateurs.
Peu à peu, ce chien commence à être très peu utilisé dans le milieu rural et il commence à se perdre dans l’histoire et s’éteint progressivement au fil du temps, presque à disparaître totalement ainsi que son utilité de l’époque.